Dans un contexte de transitions accélérées, à l’échelle des exploitations agricoles et des filières alimentaires, Axéréal engage un projet majeur d’amélioration de la performance de la relation avec les agriculteurs d’une part, les clients et les consommateurs-citoyens d’autre part, visant à améliorer l’efficacité durable de son modèle économique.
«Il est de notre responsabilité de faire évoluer l’organisation des métiers de l’agriculture vers un schéma plus orienté «filières». Nous avons décidé pour Axéréal de prendre un virage dans l’organisation des activités agricoles, dans les politiques commerciales, la stratégie d’investissement, la digitalisation, l’innovation agronomique en faveur d’une meilleure valorisation des productions des agriculteurs et d’une qualité sanitaire des grains reconnue par les consommateurs», a annoncé Jean-François Loiseau, Président d’Axéréal.
Un projet d’orientations stratégiques ambitieux
L’innovation agronomique et digitale sera au centre de la politique de développement : capitaliser sur les sols, déployer des solutions alternatives et combinatoires avec les exploitants, accélérer la décarbonation des itinéraires culturaux, et améliorer toujours plus l’efficience des sites de collecte et de transformation. Axéréal souhaite devenir un exemple de la co-construction avec les agriculteurs et ses clients, à toute échelle, de la plus locale à la plus internationale, en accélérant la transition agroécologique et digitale.
« Le cap de la coopérative sera guidé par de nouvelles voies de valorisation des productions agricoles proposées aux agriculteurs, et l’excellence dans nos métiers. Le virage stratégique vers lequel nous nous projetons, en collaboration étroite avec les agriculteurs élus de la coopérative, nous mènera vers une organisation régionale renforcée, une politique commerciale plus simple et plus locale, et des infrastructures recalibrées», détaille Paul-Yves L’Anthoën, Directeur Général d’Axéréal. L’ensemble du projet devrait permettre une augmentation conséquente de la performance, avec l’objectif de 30 millions d’euros de gains de compétitivité, au service d’un meilleur retour aux agriculteurs.