L’entrée dans le capital de Carrefour, de Bernard Arnault (LVMH) et du fonds américain Colony Capital, a relancé les spéculations autour des actifs immobiliers du distributeur. Le groupe, ayant déjà cédé ses galeries marchandes à Klépierre en 2000, n’est pas disposé à vendre les murs de ses hypermarchés. Cependant, Colony Capital, spécialiste des opérations de valorisation pourrait le contraindre à changer d’avis.