En effet, tous les produits alimentaires solides, chocolat noir compris, bénéficient d’une TVA à 5,5%. Hors, celle s’appliquant au chocolat au lait et aux confiseries est de 19,6%. Aussi, les représentants des confiseurs et chocolatiers, qui demandent la fin de cette « aberration fiscale » ont été reçus le 8 décembre dernier à l’Élysée. Constatons qu’en Allemagne, en Belgique et au Luxembourg, la TVA appliquée sur ces produits est bien inférieure à 19,6%.