Souvent accusés de contribuer au réchauffement climatique, les bovins ne représentent que 2 à 3% de la totalité des gaz à effet de serre émis. En effet, leurs fermentations digestives produisent du méthane et le fumier dégage du CO2. Aussi, les chercheurs en nutrition animale de l’entreprise Sanders ont intégré des matières grasses (de type insaturées) issues du colza, du soja, du lin et du tournesol dans les rations des ruminants. Résultat, on observe une réduction de la quantité de gaz à effet de serre émis et une augmentation de la production laitière par animal.