La gamme Tapir HL de Busch permet de déceler des fuites et de s’affranchir de l’étanchéité des systèmes et processus industriels. Le HL 1102 A et le HL 2216 A sont devenus deux détecteurs incontournables, à la fiabilité éprouvée.
A cet effet, le HL 2216 A est un modèle hautes performances avec une détection ultrasensible capable de s’adapter à de nombreuses applications, à l’image des essais de série dans une ligne de production. Quant au HL 1102 A, il présente l’avantage d’être mobile et transportable grâce à sa légèreté incomparable. Il intègre une pompe à vide à membranes sèches. Grace à sa légèreté le détecteur peut être utilisé dans des installations difficilement accessibles ou en hauteur
Temps de réponse quasi instantané
Chaque produit de la gamme Tapir HL dispose d’un écran couleur haute définition pour une lisibilité optimisée. La navigation intuitive dans les différents menus simplifie le paramétrage et son utilisation. Toutes les analyses effectuées, incluant des résultats de mesures précises, peuvent d’ailleurs être enregistrées rapidement via une carte mémoire SD dédiée. « Grâce à son temps de réponse quasi instantané, la gamme Tapir HL est un allié de choix pour garantir l’intégrité de tous les systèmes et quantifier le taux de fuite », explique Stefan Albiez, Responsable produit de la gamme Tapir.
Le HL 1102 A et le HL 2216 A disposent d’une gamme d’accessoires complète : pistolet d’aspersion, sonde de reniflage, filtres, télécommande sans fil, chariot et caisse de transport… Un kit clé en main pour prévenir des dysfonctionnements éventuels ainsi que des pertes d’efficacité. La solution se veut idéale pour maîtriser les coûts énergétiques et d’exploitation afin que chaque produit en sortie de chaîne soit d’une qualité irréprochable. La fiabilité est un objectif primordial chez Busch et la gamme Tapir HL ne déroge pas à la cette règle. «Busch s’inscrit aussi dans une démarche technologique. Avec ses produits Tapir HL, la compatibilité avec l’hydrogène comme gaz traceur est assurée, en plus de l’hélium», conclut Stefanie Warsitz.