Le marché des surgelés est en pleine croissance. Un récent rapport d’un spécialiste mondial des études de marché prédit que le marché européen des aliments surgelés devrait croître en moyenne de 3,87 % par an, entre 2016 et 2020. De son côté, un autre rapport d’Hexa Research révèle que l’Amérique du Nord présente le plus vaste marché en matière de surgelés et que les marchés à plus forte croissance se trouvent en Inde et en Chine, du fait de l’augmentation des revenus et de l’urbanisation.
De nombreux facteurs sont à l’origine de la croissance du marché des surgelés : manque de temps, qui amène les consommateurs à choisir des aliments pratiques et rapides à préparer, augmentation du nombre de femmes actives dans le monde, qui continuent de préparer les repas, urbanisation croissante, hausse du niveau de vie dans les pays émergents, etc.
Surgelés : de nombreux défis à relever pour les fabricants d’emballage
Les fabricants d’emballages doivent tenir compte de ces divers points en matière de produits surgelés. Le design doit être attrayant, toutes les informations nutritionnelles, de composition, de traçabilité et de péremption doivent être présentes et le matériau d’emballage doit être à la fois neutre vis-à-vis des aliments et suffisamment durable pour « tenir le coup » dans le congélateur.
Mais les fabricants d’emballages doivent tout de même garder à l’esprit le besoin de praticité des consommateurs. De nombreux types d’aliments surgelés, et en premier lieu les plats cuisinés, nécessitent simplement d’être réchauffés.
Le côté pratique d’un plat cuisiné surgelé peut être amplifié par son conditionnement. Les bacs résistant à la chaleur, par exemple, sont déjà courants dans les rayons. Mais des emballages plus innovants pourraient apparaître, comme les bols et assiettes micro-ondables, voire des emballages comestibles. Les bacs peuvent être conçus pour conserver des éléments de repas séparés (le riz d’un côté et la viande de l’autre, par exemple), et l’emploi d’emballages antimicrobiens et d’indicateurs de respect de la chaîne du froid peut assurer au consommateur que son produit est sûr sur le plan sanitaire.
Serie Ax : les trois pilliers de l’innovation de Domino
Il est probable que les fabricants d’emballage qui parviendront à allier aspects pratiques et innovation remporteront des parts de marché et contribueront à renforcer la croissance du marché des aliments surgelés. C’est ce que fait Domino, avec sa nouvelle Série Ax, qui combine trois piliers d’innovation.
Domino a développé une nouvelle tête d’impression i-Pulse, qui contrôle la formation individuelle des gouttes d’encre pour créer chaque fois une goutte parfaite. La qualité des codes est ainsi optimisée, afin d’être lisible par machine (MRC) et par systèmes de reconnaissance de caractères (OCR), ce qui réduit les taux de rejet. Par ailleurs, des encres totalement nouvelles ont été conçues pour les applications jet d’encre les plus difficiles telles que les applications sur les aliments surgelés.
Domino : une utilisation et une maintenance simplifiées
Vient s’ajouter à la tête d’impression i-Pulse, une nouvelle plateforme électronique et logicielle modulaire et performante, i-Techx. Les interfaces ont été repensées, ce qui offre une utilisation intuitive et des options de personnalisation de langues et de caractères et permet à i-Techx d’atteindre un score de convivialité (System Usability Scores, SUS)comparable à celui d’un smartphone. Un ensemble de capteurs intégrés automatise la surveillance système, ce qui permet un diagnostic proactif et prédictif, qui peut également être réalisé à distance via le Cloud Domino.
Enfin, Domino Design permet de proposer des imprimantes robustes, fiables et faciles à utiliser dans les environnements les plus difficiles. Par exemple, les Ax350i et Ax550i comportent un boîtier électronique scellé IP66 et un système de refroidissement à air permettant leur utilisation dans des environnements humides. De plus, la surveillance et le contrôle automatisés, en permanence, de l’état de l’encre assurent l’optimisation de l’encre et informent l’opérateur de la nécessité d’un remplacement.