En juillet 2004, le groupe Doux dénonce l’accord de réduction du temps de travail et décide de ne plus indemniser une demi-heure quotidienne de temps de pause. Les syndicats portent alors plainte, et commence un feuilleton judiciaire interminable, passant notamment par la reconnaissance de la Cour de cassation du temps de pause des salariés comme « un avantage individuel acquis ». L’épilogue concerne les modalités d’indemnisation des salariés. Ce sera finalement des chèques individuels remis aux 1 500 salariés du groupe qui avaient engagé une action en justice. Lundi 9 août, le délégué quimpérois de Doux Père Dodu s’est vu remettre les 260 premiers chèques qui concernent le personnel des sites de Quimper et Châteaulin, pour des montants allant de 2 000 à 6 000 €.