Enrober ces bactéries dans des capsules (à base d’amidon notamment) doit les aider à supporter les conditions des procédés industriels et être le plus « biodisponibles » possible pour l’organisme. A noter que d’autres travaux consistent à combiner ces bactéries avec ce que l’on appelle des prébiotiques (généralement des fibres à base de glucides qui servent de substrat aux probiotiques et vont stimuler leur croissance ou leur activité).