Suite à la publication récente de deux études mettant en cause l’aspartarme, l’agence de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses) a publié son avis et estime qu’il n’existe pas de « base scientifique suffisante pour une réévaluation » de la dose journalière admissible (DJA) de l’édulcorant actuellement à 40 mg/kg de poids corporel. Toutefois, l’Anses va mettre sur pied un groupe de travail pour évaluer « les bénéfices et les risques nutritionnels des édulcorants intenses et la nécessité éventuelle d’élaborer des recommandations pour des populations sensibles ». Rappelons que l’Efsa a jugé les éléments des deux études non probants.