Après CheckFood, l’application pour redistribuer les denrées consommables et limiter le gaspillage, place à FlashFood. Cette dernière milite également pour la redistribution alimentaire mais elle dispose d’autres atouts pour éviter de voir atteinte ou dépassé la date limite de consommation.
« Battons-nous contre la faim. Limitons le gaspillage alimentaire ! ». L’adage des équipes de développeurs de FlashFood est clair.
C’est au début de l’année 2013 que sept jeunes start-upers américains s’attaquent à la question délicate du gaspillage alimentaire. Un seul but : réduire le gaspillage alimentaire en checkant les dates de péremption ou, à défaut, en aidant les personnes n’ayant pas les moyens de se nourrir de récupérer ces produits destinés à la poubelle.
Comment ça marche ?
FlashFood c’est simple mais il faut y mettre du sien. Plusieurs aspects imaginés par les équipes de la start-up permettent de lutter efficacement contre le gaspille alimentaire.
Un premier est mis à disposition des commerces de proximité, épiceries, supermarchés et aux restaurants de communiquer leurs stocks d’invendus et surplus aux centres d’aides communautaires, type Samu social ou Emmaüs. Ceux-ci avertissent les personnes enregistrées dans la base de données des futures distributions de nourriture. Aux États-Unis, ces redistributions ont pesé 35 millions de tonnes en 2010.
Une autre facette de l’application permet de faire des économies. L’acheteur doit d’abord enregistré les produits de son panier, par date de péremption. Une prérogative qui peut s’avérer fastidieuse et décourageante mais indispensable. En effet, votre smartphone va alors vous informer peu avant la date de péremption qu’il faut vite consommer vos aliments. Et vous épargner de les jeter.
Alors convaincus ?