« Food is Social », c’est aujourd’hui et elle est présentée comme étant LA conférence qui fait entrer le monde de l’agroalimentaire dans le bain du 2.0 et du numérique.
La rencontre entre les professionnels de l’industrie agroalimentaire et du digital et les ministres est unique en son genre et présente bien les enjeux du numérique dans les stratégies de développement des professionnels de l’agroalimentaire. Elle se tiendra donc ce mardi à… l’hôtel des Ministres, à Bercy, qui accueille des tables rondes et des interventions conduites par des experts des filières pour débattre des sujets majeurs du secteur de la « food ».
Une formation au marketing ?
Les deux premiers thèmes abordés peuvent le laisser croire. Il s’agit ici de « fidéliser et d’engager ». Concrètement, sur le site de l’événement on peut lire : « Les marques agroalimentaires prennent conscience qu’elles peuvent perdre ou gagner la confiance des internautes en quelques clics seulement. Quelle est la vraie influence du digital sur les consommateurs ? ». Un véritable enjeu qui peut redéfinir toute la stratégie d’un groupe industriel.
Mais le deuxième point est encore plus explicite. Cette fois, fini de blaguer, on se pose les bonnes questions : « le real time marketing a-t-il du sens pour les marques food ? ». Là encore, Food is Social explique que « Le Real Time Marketing permet aux marques d’avoir une interaction en temps réel avec ses consommateurs. Mais cette tendance est-elle utile à toutes les industries agroalimentaires ? ». Mais les utilisateurs restent au cœur de la rencontre, comme le démontrent les deux derniers thèmes de la rencontre.
L’expérience utilisateur au cœur des débats
De plus en plus tendances, les Moocs (cours en ligne) peuvent aussi changer la filière de l’industrie agroalimentaire grâce à des formations. « A l’instar des Moocs qui connaissent un vrai succès, le secteur food investit largement dans la pédagogie et l’apprentissage pour séduire une nouvelle clientèle. », nous dit alors le site de l’événement. Un bon moyen de décrypter ces investissements et leur but.
Enfin, au cœur de tout, c’est l’expérience utilisateur qui viendra clore les débats. C’est elle qui détermine les stratégies de vente, d’achat, les modes de consommation et les tendances. « Comment se comportent les utilisateurs qui achètent sur le web, utilisent des applications mobiles et font confiance aux startups sur internet ? », ce sont à ces questions que tâcheront de répondre les professionnels de l’agroalimentaire, du numérique et les ministres.
Ces rencontres promettent d’être riches, rendez-vous pour leur décryptage.