Le Groupe Bel et l’équipe de direction du Groupe MOM ont signé le 29 juillet 2016 un accord de négociation exclusive avec LBO France portant sur un projet d’acquisition par le Groupe Bel d’une participation majoritaire dans le capital du Groupe MOM, l’équipe de direction actuelle demeurant actionnaire.
Avec ses marques La Vache qui rit®, Kiri®, Mini Babybel®, Leerdammer® et Boursin®, Bel est leader mondial du fromage en portion, apportant aux consommateurs des produits synonymes de qualité, de praticité et de plaisir sain. Depuis plus de 150 ans, le Groupe Bel s’est appuyé sur ses savoir-faire industriels, son audace marketing et sa gamme de produits uniques pour se développer à l’international et commercialiser ses marques dans près de 130 pays.
Mom : un chiffre d’affaires de 362 millions d’euros
Le Groupe MOM, majoritairement détenu par LBO France depuis 2010, a connu une expansion inégalée de son activité en France et aux Etats-Unis. Tout en s’appuyant sur ses marques historiques Materne® et Mont Blanc® commercialisées en France, le Groupe MOM a créé la catégorie de la compote en gourde et construit des positions de leadership fort avec ses marques Pom’Potes® et GoGosqueeZ®.
Le Groupe MOM a doublé de taille au cours des 5 dernières années, pour atteindre un chiffre d’affaires de 362 millions d’euros en 2015. Il emploie 1 300 personnes et possède 4 usines de production (2 en France et 2 aux Etats-Unis). Son ambition est de s’appuyer sur son savoir-faire industriel et sa capacité d’innovation pour bâtir avec ses marques un leadership international.
Un acteur mondial et compétitif du snacking
Ce projet permettrait à Bel et MOM de constituer ensemble un acteur mondial majeur du snacking sain, fondé sur des marques fortes et innovantes ainsi qu’une très forte complémentarité des gammes de produits et des géographies.
Ce projet sera soumis à la consultation des instances représentatives du personnel de chaque groupe et à l’obtention des autorisations par les autorités de la concurrence compétentes ainsi que d’autres conditions suspensives usuelles, en vue d’une finalisation avant la fin de l’année 2016. L’acquisition serait financée sur les ressources financières de Bel et par une levée complémentaire de dette et ne remettrait pas en cause la solidité financière de Bel.