Depuis des années, la marque Herta est réputée pour sa rentabilité et son excellente image auprès des consommateurs.
Ces 48 derniers mois, de nombreux investissements ont été réalisés pour moderniser la chaine de production, de quoi relancer des rumeurs de revente. Toutefois, son PDG se veut rassurant.
La marque Herta a su s’adapter aux nouvelles technologies
Depuis une vingtaine d’années, les produits de la marque Herta trônent dans les rayons des grandes surfaces, et, dans les publicités télévisuelles qui ont marqué des générations.
Ce succès continu s’est construit grâce à leur adaptabilité technique, en l’espace de 4 ans, plus de 50 millions d’euros ont été investis dans de nouvelles technologies (principalement son usine du Nord à Saint-Pol-sur-Ternoise).
L’objectif est clair, augmenter les capacités de production (jambon cuit notamment en passant d’une technologie dynamique à statique en –eau chaude-, +66 % de productivité) tout en conservant le même niveau de qualité.
Soulignons qu’à présent la taille totale du site Herta est de 60 000 m². D’autres efforts ont aussi été réalisés pour limiter les rejets de CO², notamment via une chaudière biomasse (-70% de rejet CO²).
Le roi de la charcuterie n’est pas à vendre
Selon son nouveau PDG nommé il y a 6 mois (Arnaud de Belloy), la marque Herta ne compte absolument pas quitter la galaxie Nestlé dans les prochains mois.
Pour rappel, cette marque est à la fois rentable et excellemment bien positionnée d’un point de vie marketing (prix au-dessus de la moyenne, packaging soigné, etc…).
Cette mise au point était selon le numéro 1 d’Herta indispensable suite aux récentes déclarations de l’exécutif de Nestlé laissant croire à une potentielle cession.
Herta n'est pas à vendre | agro-media.fr: http://t.co/beDdGNEYap
— Agro-media.fr (@agro_media) November 18, 2013