Réchauffement climatique, record historique des émissions de CO2 et pénurie d’eau…dans ce contexte d’urgence climatique, il apparaît essentiel de réduire l’impact environnemental de sa consommation. Et l’un des meilleurs leviers pour y parvenir à l’échelle individuelle, c’est de réduire sa consommation de viande. C’est ce que confirment les résultats de l’analyse du cycle de vie menée en collaboration avec le cabinet Agrosolutions sur 5 des références phares d’HappyVore. D’après ses résultats, un produit HappyVore émet en moyenne 12 fois moins de Kg équivalent CO2 et nécessite 2,8 fois moins d’eau que son équivalent carné.
Aujourd’hui, la part de l’alimentation est estimée à 24% dans l’empreinte carbone des foyers français, et dans cette alimentation, 40% est dû à la consommation de produits carnés. Choisir une alternative végétale à la viande, même ponctuellement dans l’année et à échelle individuelle, peut donc vraiment contribuer à préserver la planète. D’autant plus dans le contexte de pénurie d’eau que nous connaissons actuellement. Avec le cabinet Agrosolutions, HappyVore a mené une Analyse de Cycle de Vie sur 5 de ses références phares : les Aiguillettes, les Allumettes, les Chipolatas, les Steaks et les Nuggets 100% végétaux. L’impact de ces 5 produits a, notamment, été mesuré sur le changement climatique (émissions de CO2) ainsi que sur la consommation d’eau. C’est toute la chaine de production qui a été analysée, depuis l’origine des ingrédients utilisés jusqu’au traitement de leurs emballages en passant par le conditionnement, la logistique ou encore la distribution, et ce en comparaison avec leurs équivalents carnés. Les résultats obtenus sur ces 5 références phares ont ensuite été appliqués aux produits de la gamme équivalents en termes d’origine des matières premières et de processus de fabrication. Pour l’impact des produits HappyVore sur le changement climatique, Agrosolutions a pris en compte les émissions de gaz à effet de serre, mesurées en kg Eq.CO2. Pour ce qui est de l’impact sur l’eau, Agrosolutions s’estbasé sur la consommation d’eau tout au long du cycle de viedes produits, ainsi que sur la pression sur la ressource en eau,mesurée en mètres cubes.
2,8 fois moins d’eau que les équivalents carnés
Les résultats de l’étude révèlent un impact positif dans la préservation de l’eau : les produits HappyVore nécessitent en moyenne 2,8 fois moins d’eau que leurs équivalents carnés. La réduction d’impact est particulièrement élevée sur les Steaks végétaux et gourmands, avec 4,3 fois moins d’impact sur l’indicateur épuisement de la ressource en eau, ainsi que sur les Chipolatas qui consomment 4,5 fois moins d’eau que les saucisses carnées. Les aiguillettes végétales, les lardons etnuggets végétaux HappyVore consomment respectivement 2,1,4 et 1,7 fois moins d’eau que leurs équivalents carnés.
«Si chaque Francais remplace sa viande par 1 produit HappyVore une fois par semaine pendant 1 an, cela représente une économie de 39,2 millions de M3 d’eau. Ce volume d’eauest comparable à la consommation d’eau potable annuelle de720 000 Francais, soit l’équivalent d’1,4 fois la population de Lyon. Soit une économie de 4,9 millions de Tonnes équivalentCO2, émissions comparables à celles d’une personne qui ferait 1.8 millions d’A/R Paris-New-York en avion», explique Guillaume Dubois, cofondateur d’HappyVore.
Les résultats de l’étude démontrent également que les produits HappyVore ont en moyenne 12 fois moins d’impact sur le changement climatique que leurs équivalents carnés. Le différentiel d’impact le plus important est celui entre le bœuf et le steak végétal HappyVore, puisque ce dernier émet 31 fois moins de kg Eq. CO2 par kilo de produit fini. Par ailleurs, choisir des Chipolatas HappyVore permet d’émettre 6,3 fois moins de kg Eq. CO2 que des équivalents carnés, des Allumettes 4,2fois moins que des lardons, des Aiguillettes HappyVore 3,5 foismoins que des aiguillettes de poulet et des Nuggets HappyVore 2,5 fois moins de kg Eq. Co2 que leurs équivalents carnés.
Depuis sa création, HappyVore met un point d’honneur à minimiser l’impact environnemental de ses produits, et oriente ses décisions en ce sens avec notamment : un sourcing exclusivement francais et européen de ses protéines et huiles, un allègement continu de ses packagings, le lancement de son usine, qui va permettre d’augmenter ses capacités de production et d’accroitre la démocratisation de produits respectueux de l’environnement auprès d’un maximum de Francais.