Dans un contexte où les entreprises agroalimentaires sont de plus en plus soumises à des normes strictes en matière de durabilité, le choix des technologies d’impression représente un enjeu majeur. Réduire les déchets, limiter l’empreinte carbone et adopter des pratiques respectueuses de l’environnement sont désormais des impératifs pour l’industrie.
Parmi les solutions disponibles, deux technologies d’impression se distinguent : l’impression jet d’encre directe et l’impression-pose d’étiquettes. Mais laquelle répond le mieux aux objectifs environnementaux ?
Tiflex, expert en codage marquage, nous aiguille sur l’impact environnemental de ces deux méthodes courantes.
Impression jet d’encre directe : Un allié écologique pour l’industrie
Selon Tiflex, l’impression jet d’encre directe est en passe de devenir une technologie de référence dans l’agroalimentaire, notamment pour sa capacité à minimiser les déchets. En imprimant directement sur les emballages, cette méthode élimine le besoin d’étiquettes adhésives, souvent composées de matériaux difficilement recyclables. Cela se traduit par une réduction notable des déchets solides tout au long de la chaîne d’approvisionnement. Son autre avantage est la diminution des émissions de CO2.
«En éliminant les étapes de production, de transport et d’application d’étiquettes, l’impression jet d’encre directe réduit le nombre de processus énergivores. De plus, l’adoption des encres sans huile minérale, permet de diminuer les rejets polluants dans l’air et dans l’eau, tout en répondant aux exigences réglementaires de plus en plus strictes en matière de durabilité», souligne l’expert du marquage industriel.
Impression-pose d’étiquettes : Une solution coûteuse pour l’environnement
L’impression-pose d’étiquettes, méthode traditionnelle dans le secteur, présente quant à elle un impact environnemental nettement plus lourd, estime Tiflex. Ce procédé implique en effet plusieurs étapes génératrices de déchets : la production des étiquettes, leur application sur les produits et la gestion des supports utilisés, comme les pellicules adhésives. Ces matériaux sont souvent difficilement recyclables, contribuant à l’accumulation de déchets solides.
En termes d’émissions de gaz à effet de serre, l’impression-pose d’étiquettes se révèle également moins performante.
«Le transport des rouleaux d’étiquettes, combiné à l’énergie nécessaire à leur application, alourdit l’empreinte carbone du processus. Par ailleurs, cette méthode requiert l’utilisation de ressources naturelles supplémentaires, telles que le papier et les encres, augmentant ainsi la consommation globale de matériaux», explique l’expert.
Technologie jet d’encre directe : un levier stratégique pour les professionnels de l’agroalimentaire
Au-delà de ses avantages environnementaux, l’impression jet d’encre directe offre une flexibilité accrue pour les industriels de l’agroalimentaire. «Elle permet de personnaliser les emballages en temps réel, réduisant ainsi les erreurs liées à la gestion des stocks et optimisant les délais de mise en marché. Cette réactivité devient un atout majeur pour les entreprises cherchant à répondre aux attentes des consommateurs, de plus en plus soucieux de l’impact écologique des produits qu’ils achètent», constate Tiflex.
En modernisant leur parc technologique avec des solutions d’impression directe, les acteurs de l’agroalimentaire non seulement renforcent leur engagement environnemental, mais optimisent également leurs opérations. Cette approche permet de traiter des volumes importants à moindre coût et de réduire les besoins en maintenance, ce qui améliore la rentabilité tout en respectant les critères de durabilité.
Vers une impression durable et responsable
Face aux enjeux environnementaux croissants, l’adoption de technologies plus propres, comme l’impression jet d’encre directe, apparaît donc comme une solution incontournable pour l’industrie agroalimentaire. En éliminant les déchets liés aux étiquettes, en réduisant les émissions de CO2 et en adoptant des encres plus respectueuses de l’environnement, cette méthode contribue à la transition écologique du secteur.
Selon Tiflex, les entreprises soucieuses de leur impact environnemental devraient sérieusement envisager d’abandonner l’impression-pose d’étiquettes au profit de technologies plus durables. En plus d’améliorer leur empreinte carbone, cette transition pourrait également renforcer leur compétitivité, en leur permettant de répondre aux attentes croissantes des consommateurs et aux réglementations toujours plus strictes en matière de durabilité.
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