Malgré les mesures d’hygiène lors de l’abattage des volailles, la peau reste une source importante de développement bactérien. L’INRA de Clermont-Ferrand a développé une technique de jets de vapeur surchauffée à pression atmosphérique permettant de diminuer la contamination initiale de la peau d’un facteur 103 à 105 sans pour autant cuire la peau.