Deux raisons à la belle progression du chiffre d’affaires du groupe volailler sur le premier trimestre. La commercialisation de tonnages plus importants (+2,8%), ainsi qu’une renégociation des tarifs à la hausse avec la grande distribution. A ce sujet, l’entreprise de la Sarthe, leader national, est toujours en pourparlers avec les supermarchés. LDC a justifié la hausse de ses tarifs en réponse à la flambée des prix de l’alimentation animale. Prudent, le groupe prévient donc déjà que « l’incidence sur les comptes des six premiers mois sera […] marginale ».