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Le Sepag, le nouveau salon dédié aux équipements et process agroalimentaire

sujet sepag

Usinage et process prennent désormais une place considérable dans la production agroalimentaire, le Sepag est un nouveau salon qui met à l'honneur les équipements et le process agroalimentaire.

Le SEPAG, nouveau-né parmi les salons de l’agroalimentaire, met l’accent sur les équipements et le process agroalimentaire, entend bien creuser son sillon. Sur invitation et adressé aux seuls industriels de l’agroalimentaire et métiers de bouche, il se tiendra au Parc des Expositions de Valence (Drôme) du 23 au 25 juin 2015 et se démarque déjà des autres Sial et CFIA, jusqu’alors stars du secteur.

Le rendez-vous est pris : Parc des Expositions de Valence (Drôme), du 23 au 25 juin 2015, une centaine de sous-traitants agroalimentaire et professionnels des équipements et du process agroalimentaire viendront présenter leurs produits et leurs nouveautés. Côté visiteurs, le Sepag espère en réunir 3000 à 4000 et principalement un visitorat ciblé de professionnels.

Pour cette première édition, le Sepag a un programme précis lié à la santé et aux performances dans l’agroalimentaire. L’idée étant d’associer la santé des salariés aux performances de l’entreprise, de valoriser les produits du terroir mais aussi de booster l’emploi dans le secteur de la sous-traitance agroalimentaire.

Pourquoi à Valence ? Avec 39 000 établissements, la région Rhône-Alpes est la 2ème région française en nombre d’entreprises agroalimentaires. La filière dans son ensemble est une véritable force vive pour l’économie régionale et notamment en Drôme. En effet, avec 8 milliards d’euros de chiffre d’affaires, c’est la 5ème région en nombre de salariés dans l’agroalimentaire avec 27 000 emplois dont 750 entreprises pour 9600 salariés juste pour la Drôme. Géographiquement, c’était aussi une bonne équation : au croisement de Rhône-Alpes, Paca et du sillon Alpin, la Drôme bénéficie également d’une situation stratégique propice aux échanges.

L’image des métiers de l’agroalimentaire a changé, premier employeur de France avec plus de 250 000 emplois à la clé, les questions liées à la pénibilité et aux horaires décalées sont également passées au second plan, une image plus lissée, voire tendance, a pris place.

Par ailleurs, un partenariat vient de se valider avec le pôle de compétitivité Terralia avec la mise en place de rendez vous BtoB qualifiés entre des donneurs d’ordre/acheteurs de l’industrie agroalimentaire et les exposants sur le salon.

Une nouvelle image de l’agroalimentaire, de nouveaux acteurs

Après les producteurs, éleveurs, agriculteurs ou gros industriels de l’agroalimentaire, place désormais aux sous-traitants qui sont indispensables dans la chaîne de production agroalimentaire et qui ont leurs propres salons.

Si on prend l’exemple du CFIA, ses exposants sont répartis en trois secteurs : ingrédients et produits alimentaires intermédiaires, équipements et procédés, emballages et conditionnements. Des problématiques inhérentes à la production agroalimentaire. Du côté du Sial, cette Grand’Messe de l’agroalimentaire a présenté des entreprises venues vendre leurs solutions de sous-traitance : procédés industriels type mélange, dosage, séchage, atomisation, extrusion, encapsulage,… fournis par les IAA à d’autres IAA pour permettre de développer de nouveaux produits sans s’équiper dans un premier temps d’un outil industriel spécifique.

Aujourd’hui, avec ce nouveau salon qui est en train de naître : le SEPAG, les équipements et process agroalimentaire sont – cette fois – largement pleinement mis en valeur, une belle mise en lumière de ces domaines, jusqu’ici oubliés des salons.

Pour plus d’information : http://www.salon-sepag.fr

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