L’association des Vignerons indépendants de France et Greenpeace ont conjointement appelé le gouvernement à faire preuve d’ambition pour la conférence internationale de Copenhague. Elles ont expliqué que la viticulture est déjà impactée par les évolutions climatiques. Les vendanges sont de plus en plus précoces. Le rendement baisse aussi alors que le degré alcoolique augmente. Les microclimats qui font la spécificité des vins français (la Bourgogne en est un exemple frappant) sont en train de se modifier, ce qui bouleversera aussi l’équilibre économique de certains vignobles.