Dans l’industrie, les risques sanitaires liés aux usages de l’eau sont nombreux et visent à la fois l’interne, l’environnement immédiat des sites industriels et leurs écosystèmes.
Tout le cycle de vie de l’eau et tous les types d’eaux sont concernés : présence de matières inertes, développement de micro-organismes ou matières vivantes, germes pathogènes, etc. La question de la désinfection tout au long du cycle de l’eau est donc complexe, et les situations multiples pour l’industrie agroalimentaire très encadrée par les normes et réglementations.
«Les besoins et contraintes peuvent considérablement varier selon la nature des produits finis, la typologie d’usage de l’eau et les risques encourus sur les installations, les personnels, les usagers ou encore sur les populations environnantes» explique BWT (Best Water Technology) qui développe depuis plus de 100 ans des produits de traitement, équipements, technologies et service afin d’assurer la sécurité, l’hygiène et la santé des consommateurs.
De nombreux critères à prendre en compte
Derrière les enjeux sanitaires et sécuritaires, les questions environnementales et économiques restent donc élémentaires dans la gestion de la microbiologie des eaux industrielles. Et ce, quelles que soient la typologie des risques d’infection (micro- organismes et matières vivantes ou matières inertes), l’origine de l’eau utilisée, la finalité d’usage de l’eau à produire et la situation du point de traitement dans la chaîne de production.
«Face à la complexité des installations et des réglementations inhérentes, une approche analytique et globale des besoins en eaux des filières industrielles est à privilégier» conseille BWT.
Gagner en efficacité, optimisation et maîtrise
Pour gagner en efficacité, optimiser les coûts économiques, sociaux et environnementaux de la maîtrise microbiologique, sur l’ensemble du cycle de vie de l’eau dans l’industrie, BWT publie «La désinfection de l’eau en industrie», un livre blanc téléchargeable en ligne par les industriels. Celui-ci est construit autour de trois grands chapitres : Les risques sanitaires et les contraintes réglementaires, la maîtrise biologique de l’eau et les critères de choix d’une solution adaptée, le tout complété par des études de cas, notamment dans une industrie fromagère et chez un producteur d’huile végétale.