Avec un recul de 0,4% en valeur et 1,8% en volumes, c’est la première fois depuis cinq ans que la consommation de poisson régresse. Selon FranceAgriMer, même si tous les circuits de distribution sont concernés, ce sont les petits commerçants qui souffriraient le plus, notamment à cause du recul important du poisson frais (-4,5% en valeur et -2,6% en volumes). L’étude table sur un possible report vers les rayons traiteur et surgelé des grandes surfaces comme le surimi ou les poissons panés.