La hausse des températures de l’eau et du niveau des mers, la fonte des glaciers, les modifications de la salinité et de l’acidité des océans, la recrudescence de cyclones dans certaines régions, la diminution des pluies dans d’autres, et les changements de répartition et d’abondance des stocks ichtyologiques, voilà autant de paramètres qui, d’après la FAO, menace les pêches et l’aquaculture. Ce secteur, qui fait vivre plusieurs centaines de millions de personnes à travers le monde, pourrait être profondément bouleversé. Environ 42 millions de personnes y travaillent directement, la grande majorité dans les pays en développement.