Après avoir signé un accord d’exclusivité pour discuter de leur union, Sodiaal et Entremont disposent de deux mois pour finaliser leur projet. Du fait de la fragilité de Sodiaal, le tour de table prévu avec notamment Albert Frère, les coopérateurs de Sodiaal, le Fonds Stratégique d’Investissement et des institutions financières du monde agricole risque de n’être qu’une première étape. La deuxième pourrait voir intervenir des groupes comme Bongrain mais surtout Laïta, jugés incontournables pour trouver une solution pour les outils d’Entremont situés dans l’Ouest dont la situation financière est toujours délicate (375 millions d’euros d’endettement).