“Aujourd’hui, l’urgence climatique est connue sur toute la surface du globe. Entre 1990 et 2017, les émissions mondiales de CO2 ont augmenté de 64% (hors émissions issues de l’utilisation des terres, des changements d’affectation des terres et de la foresterie). C’est la tendance présentée depuis plusieurs années par les rapports d’études climatiques diffusés sur le site du gouvernement français. Pour inverser cette tendance, les pays européens se sont fixés en 2014 un nouvel objectif de réduction des émissions de CO2 de 40% par rapport à 1990 d’ici 2030, en déployant des politiques favorisant l’économie verte et en accélérant la transition énergétique. Au niveau mondial, en 2016, la production d’électricité reste le premier secteur émetteur de CO2 dans le monde, avec 40 % du total des émissions dues à la combustion d’énergie. L’industrie (y compris la construction) représente environ 20% des émissions de gaz à effet de serre. Réduire les émissions carbone de nos activités industrielles est donc un enjeu prioritaire, non seulement pour limiter leur empreinte environnementale, mais aussi pour améliorer leur compétitivité. Pour tout industriel, la recherche de l’efficacité énergétique est ainsi particulièrement vertueuse, en associant réduction de l’impact environnemental, réduction des coûts de l’énergie, et meilleure image dans l’opinion publique. C’est pourquoi les acteurs du secteur travaillent depuis plusieurs années à réduire leur facture énergie en mettant en place différentes innovations techniques, fonctionnelles et structurelles (modernisation des équipements et digitalisation, optimisation des process, actions d’efficacité énergétique, négociation contractuelle, choix de nouveaux prestataires, etc.).
Dans ce contexte, quelle est la situation mondiale et française en termes d’émissions de CO2 ? Quelle part revient au secteur industriel ? Quels sont les objectifs mondiaux et français en matière d’économie d’énergie dans l’industrie ? Ce sont les questions auxquelles ce livre blanc donne des éléments de réponse.”
Le guide ultime du Bilan Carbone pour les PME volontaires : Toutes les étapes et les questions clefs pour réaliser le bilan carbone de votre PME. Vous y trouverez notamment des éléments de réponse aux questions suivantes : Quel contexte historique et réglementaire ? De quoi parle t-on, et quelles sont les méthodes de calcul ? Quels sont les facteurs d’émissions et la base ADEME ? Quel budget allouer à l’exercice ? Comment bénéficier d’une subvention ? À quelle fréquence faire son Bilan Carbone ?Que faire de ce diagnostic ? Comment communiquer sa démarche ?
A l’occasion de l’édition 2023 du Salon Global Industrie, ABGi-Absiskey, en partenariat avec la SATT Ouest Valorisation, dévoile dans un « livre blanc » les retours d’expérience de son offre de conseil « Stratégie Bas Carbone ». La première étape de l’accompagnement consiste à aider l’entreprise à formaliser son positionnement stratégique et concurrentiel dans une approche résiliente et durable. L’entreprise doit ensuite se doter d’indicateurs adéquats pour comprendre puis minimiser l’impact carbone de ses activités actuelles. Le bilan carbone est la réponse à ce besoin.
Pourquoi réaliser un bilan carbone ? Quelles sont les différentes méthodes disponibles ? Laquelle choisir ? Vers qui se tourner pour mesurer ses émissions ? Quelles informations et documents sont nécessaires ? Qui mobiliser en interne ? Quel est le coût d’un bilan carbone ? Est-ce très chronophage ?
Beaucoup d’entreprises, notamment les TPE, se retrouvent démunies face à la technicité de la démarche. Dans ce livre blanc, nous vous apportons les clés pour vous lancer pas à pas, sans vous précipiter.
Dans le cadre du plan d’investissement « France 2030 » mis en place par le gouvernement, l’appel à projets intitulé « DECARB IND », lancé en avril 2023, permet à des entreprises industrielles d’obtenir des subventions pour leurs projets de décarbonation.
Equinov déchiffre dans ce guide cet appel à projets qui finance plus spécifiquement les projets de décarbonation, permettant une réduction des gaz à effet de serre supérieure à 1000 TCO2eq par an à iso-production. Les dates de clôture pour cet appel à projets sont le 27 juin et le 12 décembre, soit 2 relèves pour 2023.
