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Après la menace, l’action.

Michel Edouard Leclerc avait prévenu les industriels qu’en raison des hausses de tarifs allant de 18,29 % à 20,63 %, six marques étaient menacées de disparaître de ses linéaires. Depuis le 1er février, les articles concernés : la boîte de 12 fromages La Vache qui rit (de Bel), un produit d'entretien Ajax (Colgate-Palmolive), des crèmes anti-rides (L'Oréal et Nivea), …

Michel Edouard Leclerc avait prévenu les industriels qu’en raison des hausses de tarifs allant de 18,29 % à 20,63 %, six marques étaient menacées de disparaître de ses linéaires. Depuis le 1er février, les articles concernés : la boîte de 12 fromages La Vache qui rit (de Bel), un produit d’entretien Ajax (Colgate-Palmolive), des crèmes anti-rides (L’Oréal et Nivea), un sirop Pulco (Orangina) et un gâteau du fabricant Brossard (Saveurs de France) ont été retirés. Cette sanction sera maintenue jusqu’à ce que les industriels s’engagent à ne pas augmenter les prix plus que la moyenne de leur gamme. Une centaine d’articles sont susceptibles de subir le même sort… Ces retraits sont monnaie courante dans les démarches de négociation industriel-distributeur mais c’est la 1ère fois que cet argument est utilisé publiquement.

ParLa rédaction
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