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Après les éleveurs bovins, les éleveurs de porcs bloquent les charcuteries-salaisonneries.

La méthode reste la même mais les revendications changent. En effet, lundi dernier une centaine d'éleveurs de porc ont bloqué les accès de trois entreprises de salaison dans l'Ouest : le  salaisonnier Aubret à Saint-Mars-La-Jaille et les deux usines finistériennes du salaisonnier Jean Caby (groupe Aoste/Campofrio) à Ergué-Gabéric, près de Quimper, et à Landivisiau.

La méthode reste la même mais les revendications changent. En effet, lundi dernier une centaine d’éleveurs de porc ont bloqué les accès de trois entreprises de salaison dans l’Ouest : le  salaisonnier Aubret à Saint-Mars-La-Jaille et les deux usines finistériennes du salaisonnier Jean Caby (groupe Aoste/Campofrio) à Ergué-Gabéric, près de Quimper, et à Landivisiau. Ces actions intervenaient  à trois jours de la réunion prévue ce jeudi à Paris entre les acteurs de l’interprofession porcine dans le cadre des négociations avec les grandes surfaces et la confédération nationale des charcutiers-traiteurs (CNTC). Les attentes des syndicats agricoles sont les suivantes : imposer le label « né et élevé en France » aux transformateurs de viande de porc et abroger parallèlement le logo “élaboré et transformé en France”, jugé “trompeur” pour le consommateur. Cette mention d’origine des produits est considérée comme un préalable pour obtenir une revalorisation du prix payé aux éleveurs.

ParLa rédaction
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