Aquaculture : le port de Rouen-Haropa a élu son nouveau Président du Conseil de Développement
Jean-Philippe Laillé a été élu Président du Conseil de Développement de HAROPA - Port de Rouen, mercredi 30 mars 2016.
Ancien directeur du site industriel et portuaire Rubis Terminal, il est aujourd’hui Directeur des Opérations France du groupe, leader européen indépendant dans le stockage de produits pétroliers, chimiques, agroalimentaires et des engrais.
Jean-Philippe Laillé retrouve la présidence du Conseil de Développement de HAROPA-Port de Rouen, un poste qu’il a occupé de 2012 à 2014. L’ancien directeur de Rubis Terminal, aujourd’hui Directeur des Opérations France du groupe, a été élu mercredi 30 mars 2016 par les membres des quatre collèges composant l’instance consultative et de proposition.
Conformément à la loi du 4 juillet 2008, portant réforme portuaire et relance des ports, HAROPA-Port de Rouen dispose d’un Conseil de Développement composé de trente membres. Cette structure réunit des représentants des milieux professionnels, sociaux et associatifs, des collectivités territoriales ainsi que des personnalités qualifiées. Le Conseil de Développement est notamment consulté sur le projet stratégique et la politique tarifaire du port.
Une belle expérience des voies maritimes
Ingénieur de l’Ecole des Mines de Douai, Jean-Philippe Laillé, 43 ans, avait pris en 2005 la direction des terminaux rouennais de la société Rubis Terminal, un stockeur indépendant français de vracs liquides. Ce site portuaire multimodal (maritime, fluvial, ferroviaire, routier, par oléoduc) de stockage de produits liquides (pétroliers, engrais, chimiques, huiles, divers), emploie 55 salariés. Le trafic annuel de Rubis Terminal s’établit à 4 millions de tonnes dont 2,6 millions de tonnes par la voie maritime. Suite à sa nomination en tant que Directeur des Opérations France du groupe, Jean-Philippe Laillé a été remplacé par Stéphane Simon à la tête du site rouennais.
“Je suis satisfait que tous les acteurs économiques aient repris leur place, légitime, au sein du Conseil de Développement. Désormais, il faut reprendre le travail, se tourner vers l’avenir et les défis qui nous attendent afin de développer l’activité du Port de Rouen, indique Jean-Philippe Laillé. Les principales discussions vont porter notamment sur la mise en oeuvre du Projet Stratégique 2014-2019, véritable feuille de route pour le du Port de Rouen “.
“Serqueux – Gisors : un projet stratégique pour le port de Rouen”
Les différentes commissions créées au sein du Conseil de Développement vont donc reprendre leurs dossiers avec une priorité donnée aux dessertes ferroviaires du Port de Rouen. “Nous constatons aujourd’hui une érosion du réseau ferroviaire à laquelle il faut remédier en trouvant des synergies et en mutualisant les trains”, explique Jean-Philippe Laillé. A noter qu’au cours de cette séance de redémarrage, le Conseil de Développement a adopté une motion de soutien à la modernisation de la ligne Serqueux-Gisors. “Un projet stratégique pour le Port de Rouen”, juge le Président. Les ports du Havre et de Paris ont également adopté cette motion soulignant la pertinence économique de ce projet essentiel pour le développement et l’avenir de l’axe Seine.
Suite à la démission de la plupart des représentants des entreprises installées sur la place portuaire, survenue en octobre 2014, le Conseil de Développement n’avait pas été convoqué pendant près d’une année. En septembre 2015, Yvon Robert, Maire de Rouen, s’est proposé pour assurer une présidence transitoire de l’instance, ce qui a permis au Conseil de reprendre progressivement ses travaux jusqu’au retour des représentants de la communauté portuaire à l’occasion de la séance du 30 mars.
Dans le cadre de la loi du 8 novembre 2019 relative à l’énergie et au climat, la France s’est fixé comme objectifs de …
Dans le cadre de ses engagements en faveur d’emballages circulaires, Mars Wrigley France lance un projet pilote d’éco-conception de son pochon M&M’s Choco …
Verrerie : O-I Glass va investir 65 millions de dollars dans l’électrification et la décarbonisation de son usine de Veauche, en France
O-I Glass prévoit d’investir environ 65 millions de dollars dans l’électrification et la décarbonation de son usine de Veauche, en France. En tant …
L’Auvergne-Rhône-Alpes, au cœur de l’industrie 4.0 et des défis de demain
L’Auvergne-Rhône-Alpes est un véritable moteur industriel de la France. Cette région s’apprête à accueillir du 19 au 21 novembre 2024 la 6ᵉ édition …
Nestlé, Danone, Tyson Foods, Unielver, Cargill, Kelogg’s et leurs mesures d’ingénierie pour assurer la sécurité alimentaire
L’ingénierie agroalimentaire joue un rôle crucial dans la sécurité alimentaire en améliorant l’efficacité des processus industriels tout en réduisant les impacts environnementaux. Les …
L’exportation agricole et agroalimentaire revêt une importance majeure pour l’économie française. Si la France a été historiquement une puissance exportatrice dans ces secteurs, …
L’industrie agroalimentaire fait face à des exigences de plus en plus strictes en matière de sécurité alimentaire, en particulier dans la gestion des …
Bio : Vers une amélioration du marché français ?
Le Salon Natexpo 2024, qui s’est tenu récemment à Lyon, a marqué un tournant significatif pour le marché biologique en France. Cet événement, …
30 livres blancs incontournables pour l’industrie agroalimentaire en 2024
L’industrie agroalimentaire se trouve aujourd’hui à un carrefour crucial, où l’innovation technologique, les défis environnementaux, et les nouvelles attentes des consommateurs façonnent un …
ERP / SaaS : Quel logiciel choisir pour mon entreprise du secteur agroalimentaire ?
Lorsque vous envisagez de digitaliser votre entreprise du secteur agroalimentaire, choisir entre le Software as a Service (SaaS) et un système ERP (Enterprise …