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Carrefour Brésil, pas à vendre.

Dans le contexte actuel de rumeurs grandissantes autour de la possible vente de la filiale brésilienne de Carrefour, Lars Olofsson a tenu à monter au créneau pour clarifier les choses : elle « n’est pas à vendre ». Et au cas où cela ne suffirait pas, le DG de Carrefour a ajouté qu’il n’avait reçu aucune proposition d’achat de …

Dans le contexte actuel de rumeurs grandissantes autour de la possible vente de la filiale brésilienne de Carrefour, Lars Olofsson a tenu à monter au créneau pour clarifier les choses : elle « n’est pas à vendre ». Et au cas où cela ne suffirait pas, le DG de Carrefour a ajouté qu’il n’avait reçu aucune proposition d’achat de la part de Wal-Mart, là encore comme le voulait la rumeur. En effet, on pouvait entendre ça et là que le numéro un mondial de la distribution, le géant américain Wal-Mart, aurait pu être intéressé. Rappelons que cet évènement intervient suite à l’échec cuisant de Carrefour dans la fusion avec CBD Pao de Açucar.

Cependant, Lars Olofsson a expliqué dans une interview donnée au quotidien brésilien Estado sa Sao Paulo que Carrefour n’avait besoin de personne pour continuer sa progression au pays le plus large d’Amérique latine. Car le Brésil n’est rien de moins que le deuxième marché de Carrefour après la France. « Carrefour est le principal détaillant d’aliments du pays. Evidemment, beaucoup sont intéressés par Carrefour. Cela montre que nous sommes bons. Mais Carrefour du Brésil n’est pas à vendre. Si Wal-Mart voulait vendre son affaire, j’étudierai la question parce que je veux croître », a déclaré Lars Olofsson. Au moins, c’est clair !

ParLa rédaction
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