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Fruits : En manger réduirait les risques d’AVC de 40%

Manger des fruits réduirait les risques d'AVC, une bonne nouvelle pour la santé des consommateurs et les producteurs.

Fruits : En manger réduirait les risques d’AVC de 40%
Selon une étude de l’Université d’Oxford, manger des fruits limiterait les risques d’AVC et d’attaques cardiaques. Les producteurs y voient un espoir de regain pour leur activité.

Le ministère de la Santé s’allie à celui de l’Agriculture pour faire la promotion des fruits. Selon une étude menée par des scientifiques de la très prestigieuse université d’Oxford, manger au moins un fruit par jour pourrait vous épargner un AVC ou une attaque cardiaque. Une bonne nouvelle pour la santé mais également pour les producteurs de fruits qui pourraient voir leur marché croître.

« Manger des pommes », clamait Chirac. Une vérité finalement, les fruits peuvent même aller jusqu’à vous sauver la vie et c’est la science qui l’affirme. Un chercheur de l’Université d’Oxford a suivi près de 500 000 personnes, pendant sept années en Chine et le constat est sans appel : les personnes qui mangent au moins un fruit par jour voient leurs risques d’attaque cardiaque baisser de 15 % et leurs risques d’AVC dégringoler de 40 %. Par ailleurs, les chercheurs ont noté une tension artérielle moins élevée que les autres.

De quoi inciter même les plus récalcitrants à soutenir la production de fruits en achetant leurs cinq fruits quotidiens ! Mais la question qui revient sans cesse concerne elle le prix des fruits. En effet, même si cette nouvelle semble être une aubaine pour les producteurs de fruits, les prix de ces derniers ne sont-ils pas répulsifs ?

Quid des prix des fruits frais ?

Nous vous l’apprenions cet été, les prix des fruits ont déjà baissé de 12%. L’idée ? Faire de l’alimentation saine une donne accessible à tous. Pourtant, les Français boudent les fruits frais.

Cette étude pourrait inverser la tendance et redynamiser la production de fruits mais rien n’est moins sûr. L’Union européenne a déjà dû verser 125 millions d’euros aux producteurs pour leurs venir en aide, ceux-là ayant dû se résigner à revoir leur prix à la baisse face à la surabondance sur le marché.

ParLa rédaction
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