Si vous vous efforcez d’améliorer la sécurité alimentaire de vos produits, sans pour autant compromettre les performances et la stabilité de vos process, de nombreux fluides caloporteurs existent sur le marché pour l’industrie agroalimentaire. Leurs choix dépendront de leur …
Mettre en place dès aujourd'hui, des caloporteurs adaptés pour demain
Résumé complet du dossier :
Agent de transfert de calories (ou frigories), à des températures négatives ou positives, un caloporteur sert pendant le processus de fabrication ou de conservation des produits alimentaires. Il protège par ailleurs contre le gel et la corrosion. S'il n'existe pas de caloporteur dit « alimentaire », ni même de « qualité alimentaire », il existe cependant des caloporteurs enregistrés par la NSF (National Sanitation Foundation) pour le contact alimentaire accidentel. Toutefois, un produit alimentaire en contact avec un caloporteur ne doit pas être mis sur le marché. Choisir un caloporteur non toxique reste donc une priorité pour l'industriel du secteur de l'agroalimentaire qui doit aussi prendre en compte la réglementation «F-Gas II», entrée en vigueur en 2015 pour lutter contre l’appauvrissement de la couche d’ozone et le réchauffement climatique. Celle-ci interdit l’utilisation des gaz fluorés avec un pouvoir de réchauffement global (PRG) supérieur à 2 500 et notamment le R404. En 2030, l'interdiction totale des fluides R-404A et R-507 sera donc effective d'où l'intérêt pour le secteur agroalimentaire de mettre en place dès aujourd'hui, des caloporteurs adaptés pour demain.
Que ce soit pour une application frigorifique ou calorifique, pour refroidir ou chauffer un outil ou un produit, en stockage de froid ou en surgélation, optimiser son installation thermique est devenu un enjeu majeur, non seulement afin de pérenniser …