Aller directement au contenu

[2016] Interview de Dominique Ribet, commissaire général du Sepag

Dominique Ribet, responsable de marché chez Precia Molen, et commissaire général du Sepag, parle de la création de ce nouveau salon de l'agroalimentaire.

[2016] Interview de Dominique Ribet, commissaire général du Sepag
Dominique Ribet est responsable marché chez Precia Molen et commissaire général du Sepag.

Le salon des équipements et process agroalimentaires (Sepag) se tient du 23 au 25 juin à Valence.

D’où est venue l’idée de créer le Sepag ?

La CCI de la Drôme est à l’initiative de cet événement. Depuis 25 ans, elle organise le salon RIST, les Rencontres interrégionales de la sous-traitance industrielle, dans la région. L’événement est petit à petit devenu un incontournable. La CCI avait donc l’expérience. L’idée était de créer un événement dédié à l’agroalimentaire en Rhône-Alpes, car c’est un secteur très dynamique de la région.

 

Comment ce salon se démarque-t-il des autres salons du secteur agroalimentaire ?

Contrairement à des salons tels que la CFIA par exemple, le Sepag aura un réel ancrage local et une taille bien plus humaine. Sur les gros salons, c’est parfois très compliqué de réserver un stand. Et c’est cher. Il est plus facile, pour un acteur local d’être présent au Sepag. Par ailleurs, le Sepag se concentre vraiment sur le process et moins sur les ingrédients par exemple.

Quels sont ses avantages selon vous ?

C’est un salon plus accessible pour les exposants. Pour les visiteurs, c’est un moyen de pouvoir rencontrer tous les acteurs locaux sur un seul lieu, de produits de base à l’étiquetage. De mon expérience, les manifestations locales sont des réussites en termes de prises de contact.

Envisagez-vous d’ores et déjà une deuxième édition du salon ?

Nous nous concentrons pour l’instant sur la réussite du Sepag cette année. Si le succès est au rendez-vous, et nous le pensons, nous aimerions bien évidemment en faire un rendez-vous régulier, voire annuel. Nous comptons sur 80 exposants et 3 000 visiteurs pour la première année. Ce serait sans doute davantage pour les années suivantes.

ParLa rédaction

L'actualité en video

Send this to a friend