A une semaine du verdict du tribunal de Quimper, l’incertitude plane toujours sur l’avenir du pôle frais de Doux. Liquidé le 1er août dernier, le pôle frais du groupe agroalimentaire Doux connaît depuis le 10 août ses cinq repreneurs …
Doux
C’est aujourd’hui que le gouvernement auditionnera les candidats à la reprise du pôle frais du groupe agroalimentaire Doux.
Le tribunal de commerce de Quimper a fixé au 5 septembre la date à laquelle il statuera sur les offres de reprise du pôle frais du volailler Doux, où 1.700 emplois sont en jeu, a-t-on appris mardi auprès du …
Selon des informations du journal Le Monde, le groupe agroalimentaire Duc étudierait un rapprochement avec le groupe financier et industriel de la filière oléagineuse, Sofiprotéol.
Nous vous l’annoncions dès hier soir, le tribunal de commerce de Quimper a décidé la liquidation du pôle frais du groupe agroalimentaire Doux ainsi que le maintien de la période d'observation jusqu'au 30 novembre.
C’est le jour J ! Ce que l’on sait d’avance, c’est que quelque soit la solution choisie, à savoir l’offre de reprise de Sofiprotéol ou le plan de continuation de Charles Doux et de la banque Barclays, il y …
Ce matin, le tribunal de commerce de Quimper a ouvert l’audience au cours de laquelle il examinera les projets de reprise ou de continuation du groupe Doux. La situation économique des 24 entreprises du groupe sera examinée. Les audiences …
Charles Doux semble prêt à tout pour garder un pied dans son groupe. Même prêt à laisser la banque Barclays, qui détient une importante créance, prendre le contrôle de la société.
14 offres de reprise, dont 6 indépendantes et 8 coordonnées, ont été déposées hier mardi 24 juillet pour la reprise du groupe Doux. Parmi elles figurent l’offre de « consortium » menée par Sofiprotéol.
Si l’on en croit Guillaume Garot, le ministre délégué à l’Agroalimentaire, les offres de reprise du groupe Doux se seraient améliorées grâce à la pression exercée par le gouvernement et les acteurs sociaux : « Depuis trois semaines, l’Etat a pesé, a …
Un comité central d’entreprise (CCE) a eu lieu hier mardi 17 juillet au siège du groupe Doux, placé en redressement judiciaire, afin de présenter les différentes offres de reprise du volailler. Il a duré toute la journée, et à …
Charles Doux semble prêt à tout pour sauver son groupe par ses propres moyens. Il a ainsi envoyé une lettre en date du 13 juillet 2012 aux éleveurs travaillant pour lui, leur proposant « d’entrer au capital du groupe sous …
Alors que jusqu’au 23 juillet le tribunal de commerce planchera sur les différents dossiers de reprise proposés pour sauver Doux, les inquiétudes autour du nombre d’emplois qui seront supprimés grandissent.
Alors que jeudi, date limite pour le dépôt d’offres de reprise du volailler Doux, sept repreneurs s’étaient manifestés, quatre autres sont venus grossir les rangs des acquéreurs potentiels depuis. Ainsi, les candidats au rachat sont :
Le volailler LDC a publié aujourd’hui un chiffre d’affaires en hausse de 0,8% à 692,4 millions d’euros à l’issue du premier trimestre de son exercice 2012-2013, et même de 2,1% à périmètre identique et après retraitement du changement de …
L’échéance permettant à de potentiels repreneurs de déposer une offre de reprise pour le groupe Doux, en redressement judiciaire, est arrivée à son terme hier. Nous connaissons donc à présent les éventuels acquéreurs, qui sont au nombre de sept :
Aujourd’hui jeudi 5 juillet est une date importante pour le volailler Doux, étant donné que d’ici ce soir seront clôturées les offres de reprise du groupe. En attendant, le groupe de Charles Doux a été contraint de mettre en …
Suite au placement en redressement judiciaire du groupe Doux le 1er juin dernier, les administrateurs judiciaires ont annoncé que le groupe était mis en vente.
L’actualité du groupe Doux a encore été riche ce weekend. A l’issue du comité central d’entreprise qui s’est tenu vendredi dernier, les syndicats ont annoncé que les salariés de groupe volailler Doux seraient fixés sur leur sort le 6 …
Dans une interview accordée à LSA, le PDG de Coop de France, Philippe Mangin, a estimé que la date limite du 2 juillet fixée par les administrateurs judiciaires pour déposer des offres de reprise du volailler est trop court.