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Doux

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Doux dans l’actu
Doux respire un peu mais cherche un repreneur.

Sur les 30 à 40 millions nécessités par le groupe Doux pour poursuivre son activité, 19 millions ont déjà été trouvés. En effet, le tribunal de commerce de Quimper a donné hier son feu vert pour la cession de …

Doux est à vendre !

Selon une information de Ouest France, l'administrateur judiciaire de Doux aurait annoncé aujourd'hui la mise en vente du volailler, suite à son placement en redressement judiciaire.

Stéphane Le Foll au chevet des éleveurs de Doux.

Suite au dépôt de bilan de Doux, le gouvernement est mobilisé pour sauver l’entreprise et la filière avicole dans sa globalité. Le ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire, Stéphane Le Foll, a ainsi mis en place une cellule d’appui …

Doux : prise de bec entre Montebourg et Charles Doux.

Depuis l’annonce surprise pour le gouvernement du dépôt de bilan du groupe Doux, décidé unilatéralement par son dirigeant, Charles Doux, rien ne va plus entre la nouvelle direction du volailler et le ministre du Redressement productif. 

Doux : « il y a du licenciement dans l’air » !

Les délégués syndicaux FO, CFDT et CGT se sont déclarés « abasourdis », suite au Comité Central d’Entreprise (CCE) du groupe Doux qui s’est tenu hier, mardi 5 juin. Ils ont d’ailleurs quitté la réunion avant son terme, en milieu d’après-midi. 

Doux ne s’en sortira pas sans perdre de plumes !

Alors que le groupe Doux avait déposé jeudi 31 mai une déclaration de cessation de paiement auprès du tribunal de commerce de Quimper, il a finalement été placé en redressement judiciaire le lendemain pour une péri

Doux : panique dans les poulaillers !

Comme nous vous le disions dans notre article du 29 mai, le volailler Doux est sous la menace d’un redressement judiciaire. Le verdict devrait être annoncé aujourd’hui.

Le volailler Doux au bord du gouffre.

Le volailler Doux est décidément dans une mauvaise passe… La semaine dernière, il avait annoncé que le brésilien Jbs Fribois allait reprendre la gestion de ses usines brésiliennes.

Doux cède une partie de ses actifs au Brésil.

En 1998, le volailler Doux avait acquis la société brésilienne Frangosul, car il « cherchait des pays à faible coût de main-d’œuvre », selon Raymond Gouiffes, délégué CGT. Seulement, depuis un certain temps, rien ne va plus au sein …